Propriété bon marché dans les zones inondablesPourquoi interdire la construction dans une zone exposée aux inondations ? Pourquoi ne pas se contenter de "Seules les maisons flottantes peuvent être utilisées" ?
Aujourd'hui, des inondations peuvent se produire dans des régions où l'on pensait auparavant qu'elles étaient impossibles et exclues. La réaction de la politique à cela est de déclarer la région zone inondable, zone rouge, interdiction de construire. Si un spéculateur immobilier misait sur des prix plus élevés, il ne pourrait pas trouver d'allié plus parfait que cette politique. Comme chacun sait, l'offre et la demande déterminent le prix. Lorsque l'offre se raréfie, les prix augmentent. C'est pourquoi le logement devient peu à peu inaccessible et les salaires doivent être si élevés que l'économie devient non compétitive. Si l'on regarde en Californie toutes les personnes qui travaillent et qui vivent sous la tente ou dans une voiture, on ne peut que dire "l'Autriche ne doit pas devenir la Californie". Un exemple typique : dans un endroit connu pour ses inondations, le terrain à bâtir coûte 500 €/m². Pour 500 m², cela représente actuellement 1.257 € de mensualités sur 30 ans. En zone inondable, une interdiction de construire garantie par un rempart de lois. Si l'on mettait une maison de 150.000 € sur un terrain de 500 m², la mensualité du crédit serait de 2.007 €. Comme le taux de crédit ne peut pas dépasser 40% des revenus du ménage, cela représente 5.018 € de revenus du ménage. Comment les habitants de ces lieux jubileraient-ils s'il y avait des terrains à bâtir dans la zone inondable pour 50 €/m² ? 30.000 € de plus pour l'option Venezia. On y serait déjà avec 1.032 € de crédit et 2.580 € de revenu du ménage.
Pourquoi interdire la construction dans une zone exposée aux inondations ? Pourquoi ne pas se contenter de "seules les maisons flottantes peuvent être utilisées" ? Pourquoi, en ce qui concerne l'utilisation des sols, argumente-t-on constamment en termes de surface cultivable pour l'alimentation ? Ne pourrait-on pas, avec des techniques modernes comme le jardinage vertical aéroponique, se contenter d'une fraction de la surface nécessaire à l'alimentation ? Ne faut-il pas soupçonner derrière cette attitude hostile à la technique une attitude hostile à l'homme ? Selon la devise, l'homme doit être endigué et entassé ?
Le GIEC ne cesse de répéter "zéro émission nette et tout ira bien". Et ce, bien que l'Amazonie soit déjà passée de l'absorption à l'émission de CO2 en 2021 et que les études sur le dégel du permafrost aient des prévisions très dispersées. Comme alternative, PEGE propose des zones d'habitation optimisées sur le plan énergétique avec des maisons de protection climatique qui permettent de vivre dans des maisons individuelles à un prix abordable et de réaliser une transition énergétique à un coût optimisé. Cela devrait permettre de réduire les émissions de CO2 de 2 ppm par an d'ici 2054. C'est ainsi que la question aurait dû être formulée à l'origine, mais malheureusement, ce ne sont pas 500, mais seulement 200 caractères qui sont possibles pour la question. C'est pourquoi j'ai dû raccourcir la question : La question climatique : le GIEC "zéro émission nette et tout ira bien" ou PEGE les zones d'habitation optimisées sur le plan énergétique avec des maisons de protection climatique, apportent 2 ppm de réduction de CO2 par an d'ici 2054. Voici l'enquête. Merci de participer et de diffuser l'enquête. Les résultats seront publiés dans la newsletter du 28 avril.
Il ne s'agit pas de savoir si les actions vaudront 10 fois ou 100 fois plus dans 20 ans ou si elles ne vaudront plus que quelques centimes. Il s'agit de notre avenir à tous. Va-t-on assister à un grand show-down entre l'éco-fascisme et les fossiles éternels ou parviendra-t-on à surmonter la profonde division de la société, à enthousiasmer les partisans des deux camps pour un nouvel objectif grandiose ? Prospérité mondiale et assainissement de la planète au lieu d'économies, de restrictions, de renoncement et de catastrophe climatique ou pic pétrolier et un peu plus de catastrophe climatique. Les deux parties doivent être convaincues de ne pas avoir de solution, même vaguement viable. D'un côté, il faut montrer que l'objectif zéro émission nette est totalement insuffisant et qu'il faut plutôt viser un assainissement de la planète en revenant à 350 ppm de CO2. De l'autre côté, il faut montrer que l'électricité solaire permet d'atteindre un niveau de vie plus élevé que l'énergie fossile. C'est une question de survie ! La situation sociale en 2024 par rapport à 2004. En extrapolant cela à 2044, on obtient un monde d'horreur ! Si nous réussissons et que leurs actions valent 100 fois plus, ce n'est qu'un supplément à tous les autres acquis. Un nouvel actionnaire a déclaré "Moi avec mon investissement très modeste", mais 4.000 fois 1.000 € représentent aussi 4 millions pour tous les investissements jusqu'à l'ouverture de la colonie à Unken comme point de départ pour une expansion mondiale. Il existe un programme de récompense pour la recommandation de l'action. Deux des nouveaux actionnaires le sont devenus grâce à ce programme de récompense. Voici les détails. |